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30 ans de décadence lente masquée par un endettement abyssal et  par des promesses électorales mensongères en cachant les réalités financière, économique, sociale d’une déliquescence, dans l’unique but de se faire promouvoir ou  de se faire réélire.

30 ans d’un chômage endémique subventionné par le travail.

Plusieurs générations sacrifiées, sans d’autre avenir qu’une place dans la fonction publique ! Et encore jusqu’à quand ?

Aujourd’hui la décadence économique met en danger nos entreprises, sape nos institutions, démoralise les français qui travaillent ou qui en recherchent.

Nos dépenses en 2013 correspondent à 56,9% du PIB, les taux de prélèvements obligatoires atteindront en 2014 : 46,5% !

Par le suffrage universel nous sommes coresponsables de la situation.

Hollande et sa clique ne comprennent pas ce qui se déroule sous leur yeux et prennent des décisions contre productives dans la précipitation : une crise économique grave mal gérée, un modèle social en ruine, une intégration en panne, un ministre corrompu : la France vascille !

Nos chefs d’entreprises, nos artistes, nos jeunes s’exilent à l’étranger, sous les huées des jaloux et des inconscients, une véritable saignée comme la France n’en a pas connu depuis la révocation de l’Edit de Nantes due à un matraquage fiscal qui spolie le travail, la créativité et l’entreprenariat sous couvert d’un pseudo patriotisme culpabilisant et moralisateur.

Notre dette est désormais détenue pas des fourmis étrangères pendant que nous, les cigales, nous continuons de chanter. L’intégralité de l’impôt sur le revenu sert à payer les intérêts !

C’en est fini de notre indépendance et ce n’est ni l’euro ni l’europe ni même l’Allemagne les responsables de cet état de fait mais bien notre incapacité à comprendre l’économie de marché, notre absence de conscience collective, notre générosité imbécile et aveugle.

 

La dégradation des agences de notation et la remontée des taux directeurs pour emprunter va être fatale et marquer un coup d’arrêt. Il faudra prendre des décisions douloureuses dans la précipitations et donc impopulaires : les premiers touchés seront ceux qui ont amené la gauche au pouvoir et qui sont payés à crédit : les fonctionnaires et les classes populaires touchant les minima sociaux.

 

L’état a perdu son autorité face à une frange de population mal éduquée, de plus en plus violente, mal intégrée ou désintégrée mais qui exerce une pression liberticide sur le reste majoritaire d’un peuple docile qui n’aspire qu’au calme et au respect des règles.

 

Un boulevard va s’ouvrir devant les fronts de gauche et national : quel sera notre avenir alors ?

Faut il attendre une révolution si nous refusons de nous réformer ?

La droite et la gauche  sont incapables de s’entendre, se harponnant sur des sujets secondaires comme le mariage pour tous ou la publication du patrimoine des élus. La gauche fait diversion ce qui arrange la droite, incapable d’avoir su réformer lorqu’elle était au pouvoir.

 

Remettons la France sur les rails d’une économie performante capable d’enrichir notre pays de redonner confiance en l’avenir. La réforme économique touchera tous les secteurs de l’éducation jusqu’aux retraites,  rien n’arrêtera le mouvement.

 

Cessons immédiatement l’interventionnisme d’un état oppressant qui s’accapare les richesses et insulte ceux qu’il spolie.

Confions notre avenir à des  citoyens ordinaires et aux hommes politiques talentueux, vertueux et courageux (il y en a) qui nous rejoindrons.

 
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